Catégorie:Mandelsy
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La Mandelsy, une introduction
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SommaireDes mondes de l’imaginaire aux villes virtuellesD’aussi loin que je me souvienne, les mondes de l’imaginaire m’ont toujours fascinés. Imaginer un univers parallèle, avec ses propres règles, sa propre géographie et ses propres personnages tel a été, depuis finalement assez longtemps, mon loisir. Enfant, comme sans doute beaucoup d’autres, je jouais avec mes peluches et leur faisais vivre des aventures dans un monde imaginaire où se mélangeait science fiction spatiale et magie. Un mix entre l’univers de Star Wars de Georges Lucas et le monde des sorciers de J.K. Rowling. Ajoutez à cela d’épiques affrontements à la Tolkien avec des personnages incarnés par des animaux (influence Disney Mickey Picsou & Cie ?) et vous avez là le tout premier monde imaginaire que j’ai couché sur le papier. À la base de tout cet univers il y a des cartes, autre passion que je cultive depuis l’enfance. Une chose en amenant une autre, mon premier ordinateur en main (en 2006 je crois), ces univers migrent vers le support informatique. Je tâtonne alors et navigue sur plusieurs fronts sans vraiment aller au bout de mes idées : je passe par des cartes sur paint, des dessins et découvre surtout la joie des jeux de simulation de ville (city builder). Sim City 4 en premier (même si je suis passé très rapidement sur les versions antérieurs) puis un jeu qui va tout changer en 2010 : Cities XL. C’est à cette occasion que je rejoins mon premier forum. Le 4 janvier 2010, je m’inscris sur Génération City. J’y découvre un pays : l’EUGC, un morceau de continent supplémentaire implanté sur Terre. Il s’agit alors d’une nouvelle nation à imaginer avec pour base les villes construites sur Cities XL. Un premier pas vers la construction de quelque chose qui nous dépasserait tous. Très vite ce bout de terre nous contraint et nous décidons une grande migration : et si nous avions notre propre planète ? Une planète similaire à la Terre, peuplée d’humains dont le niveau de civilisation est proche du notre. Sur cette planète, l’espace n’est plus limité et chacun peu désormais y avoir son pays. J’y développe de décembre 2010 à juillet 2013 une première nation : l’Ivanoa. Ce pays est le plus beau, le plus puissant, le plus peuplé, tout y est parfait. Tout ? Non, car il manque d’enjeux. Je n’ai alors qu’une quinzaine d’années et beaucoup à apprendre sur la complexité du monde. Ce pays, s’il a permis de commencer à apprendre à écrire et à dessiner des cartes au format numérique n’est pas suffisamment intéressant à mes yeux et souffre d’une trop grande simplicité. Je l’abandonne et recommence de zéro. La dystopie « Mandelsy »C’est là que naît la Mandelsy, nom choisi en référence à un grand monsieur décédé au cours de l’année 2013. Dès le départ je veux faire de ce pays un objet particulier, atypique reflet de certaines de mes convictions et illustration inconsciente d’œuvres m’ayant profondément marqué enfant. Je pose alors quelques principes qui me guideront tout au long de la création de cette nation : la voiture n’y existe pas ou n’a pas connu de développement significatif dans ce pays assez pauvre économiquement. Peu à peu, je construis un récit à partir de ce postulat. L’histoire du pays fait apparaître un enfermement important à la fin du XIXème siècle et tout au long du XXème siècle ayant conduit à adopter des choix technologiques différents des autres nations du monde de Génération City (baptisé depuis Monde Gécée). La Mandelsy telle qu’actuellement construite est donc sous une certaine forme une dystopie : un scénario alternatif de non développement d’une société qui n’aurait pas pris le virage d’une économie dopée au pétrole du fait de sa fermeture sur l’extérieur. D’un des pays les plus développé du monde au XIXème du fait de l’intense exploitation du charbon, la Mandelsy devient donc en un siècle la dernière des nations gécéennes. La raréfaction des ressources en charbon tout au long du XXème siècle conduit à la situation du début des années 2000 avec un pays dans un état d’appauvrissement généralisé. Tout ou presque est resté comme à la fin du XIXème siècle : les villes, les moyens de transport, l’organisation économique. Dans ce contexte, pour le meilleur ou pour le pire, le pays ouvre ses frontières en 2013. Conscient du retard pris par rapport aux autres nations mais également de ce que fait peser sur l’environnement le modèle économique capitaliste dominant sur Gécée, la Mandelsy choisit une autre voie : le développement dans le respect du vivant et du non vivant. Loin des mythes du modernisme écologique, l’univers actuellement dépeint pourrait être qualifié de dystopie “éco-steam-punk” : un mixte entre un univers “steam-punk” dont la Mandelsy reprend l’ambiance architecturale victorienne et les moyens de transport (train et dirigeable) et un plaidoyer pour un développement alternatif de nos sociétés, respectueux de notre environnement et résolument tourné vers l’écologie au sens premier du termes c’est à dire tourné vers le vivant. C’est avec ce scénario, avec cette dystopie que commence la véritable histoire. Le support d’une œuvre fleuvePour la Mandelsy, la base demeure la même que pour l’Ivanoa. Je commence par créer de villes avec le jeu Cities XL puis avec son successeur Cities XXL. Des éléments de géographie, de culture et d’économie sont construits au fil des ans. Au fur et à mesure que mes études avancent, je gagne également en compétences et notamment à l’occasion de mon diplôme d’ingénieur. Je suis formé aux logiciels de SIG et entreprend donc d’en constituer un pour la Mandelsy. Cette couche cartographique permet de rendre le pays réaliste et intelligible. Peu a peu j’écris les différentes pierres de ce qui constitue aujourd’hui l’atlas de la Mandelsy. Mon doctorat me permet de vraiment apprendre à écrire. Les textes sont donc revus, actualisés et complétés au grès de ces évolutions. Le pays gagne en complexité au travers du développement de multiples thématiques qui s’entrecroisent : histoire, culture, religion, peuples… À partir de 2020, une nouvelle étape est franchie. Si les années passées sont marquées par l’organisation de rôle play sur le forum de génération city, il ne s’agit pas encore d’histoire complètes. En 2020, la Mandelsy n’est plus seulement qu’un pays décrit sous toutes ses coutures ; elle devient l’univers dans lequel je souhaite raconter mes récits. Retour en enfance, à l’époque où je m’imaginais des histoires avec mes peluches. Aujourd’hui il ne s’agit plus d’histoires de sorciers spatiaux mais d’un récit global d’aventure fait de multiples petites parties qui doivent pouvoir se lire toutes ensembles ou chacune indépendamment des autres. Un véritable challenge avec l’ambition d’une œuvre fleuve dont le dénouement devra mobiliser tous les sens des lecteurs. Ce récit et finalement l’ensemble de l’univers s’inspire de plusieurs films d’animation qui, je crois, m’ont profondément marqué enfant : Le château dans le ciel (1986, Studio Ghibli) ; La route d’Eldorado (2000, DreamWorks Animation) ; Atlantide, l’empire perdu (2001, Disney) et La planète au trésor : un nouvel univers (2002, Disney). Tous ces films mettent en scène des aventures : parfois à la recherche de cités disparues, d’autres fois à la recherche de trésors fabuleux. Ces éléments sont ceux qui guident aujourd’hui cet ensemble de récits nommé « Les cités perdues ». Puisse ce projet arriver à son termes… |
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